Joshua Bell, « l’un des plus grands violonistes du monde » (Télérama)
Tout juste nommé à la tête de l’Orchestre national de France, le chef roumain Cristian Măcelaru a l’occasion, pour son deuxième concert au Festival 2021, de montrer l’étendue de son talent dans l’interprétation du répertoire germanique qu’il affectionne particulièrement.
À ses côtés, Joshua Bell, « l’un des plus grands violonistes du monde » (Télérama), enchante de son archet les thèmes et les arabesques enthousiastes du fameux Concerto pour violon de Brahms. Son jeu limpide et pénétrant, à l’image de celui de son idole, le grand Eugène Ysaÿe, incarne la verdeur de cette pièce maîtresse du romantisme.
L’orchestre poursuit avec la Symphonie n° 9 de Schubert, une partition grandiose créée longtemps après sa mort par Schumann, qui louait les « longueurs divines » d’une oeuvre d’exception, considérée à l’époque comme trop difficile à interpréter.